[Table-ronde] Penser le queer en histoire de l’art | 21-22/10/21

Une nouvelle fois en compagnie de Quentin Petit dit Duhal (doctorant en histoire de l’art et en études de genre, université Paris Nanterre), nous avons eu l’opportunité de participer au premier congrès des jeunes chercheurs et chercheuses en histoire de l’art et archéologie à l’Institut National d’Histoire de l’Art (INHA).

Nous sommes intervenu-es sous forme de table-ronde interactive où nous avons commencé par un état de l’art et de la littérature en ce qui concerne le thème du genre en histoire de l’art (et contemporain a fortiori, notre spécialité). Nous avons choisi de développer nos parcours pour mieux expliquer comment nous en sommes arriver à une thèse comme la nôtre. Toujours attaché-es à l’image, nous les avons constamment utilisées pour appuyer nos propos. Il était alors évident, pour nous, de proposer au public des études d’oeuvres collectives : la première session était autour de Michel Journiac et de sa série « 24 heures de la vie d’une femme ordinaire », et le seconde session était autour de portraits des artistes Spook et Hungry. Nous avions d’un côté la fin du XXe siècle et de l’autre l’extrême-contemporain, avec une vision du travestissement tout à fait différente, passant d’une transformation d’homme à femme, à une transformation d’humain à post-humain. Les débats ont été riche et le public très réactif et nous nous en réjouissons encore.

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