« À l’époque de la suprématie du corps individuel et de sa promotion, les policiers du corps sont toujours aussi présents. Les diktats et les injonctions à la norme n’ont pas disparu. Le patriarcat crée encore un modèle de corps parfait auquel nous devons ressembler pour être acceptés. La police des corps ne sert pas qu’à réprimander ceux qui voudraient rester hors des clous (grossophobie, slutshaming, harcèlement, etc), elle sert également à réguler les images de corps acceptés ou non. »
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/Publié le 21 mars 2017/